Graffiti, le site de Tom Goldschmidt

Ces pages reprennent celles de mon ancien site Inspira-Sons,
qui fut consacré à l'électro-acoustique et à la musique assistée par ordinateur.
J'ai récupéré le contenu de ces pages suite à certaines demandes.
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Test / Critique/ Essai/ Review
Morphine d'Image-Line

Synthétiseur Additif

Windows et Mac OS, VST, AU et autonome.

Morphine VST, AU, autonome

(cliquer pour agrandir)

Evidemment, le nom de l'instrument est un jeu de mots (douteux) sur "morphing", le passage progressif d'un état sonore (ou visuel) à un autre. Et en effet, question évolutivité, Morphine dispose d'un arsenal peu commun. Bien sûr, si vous n'êtes familier que des filtres et des formes d'onde standardisées, il faudra secouer un peu vos habitudes : ici, vous êtes face à un synthétiseur additif. Faites un tour ici si ce concept ne vous est pas familier ou s'il est nécessaire de rafraîchir vos souvenirs.



Comme pour la plupart des logiciels de cette famille, la première chose qui frappe est la fenêtre dans laquelle s'alignent de minces rectangles verticaux (on la remarque d'autant plus que les choix du designer ne l'ont pas porté vers l'excès de discrétion - comparez ce style et celui d'Adder -).

Morphine synthétiseur partiels
Ces rectangles représentent les partiels qui composent le son - pas moins de 128 -. Bien sûr (c'est l'enfance de l'art additif), vous sculpterez le son en y dosant les fréquences du bout de la souris, ce qui est toujours un passe-temps synthétiseur Morphine outils de dessinsavoureux. Mais nous n'en sommes avec cela qu'aux premiers pas. Notons néanmoins qu'Additive nous offre des outils intelligemment choisis pour nous faciliter notre travail de "dessinateur de son" : le curseur de la souris peut y susciter des partiels isolés, mais aussi jouer sur toutes les harmoniques paires, ou sur les impaires, les harmoniques de troisième, quatrième, cinquième rang, ou susciter des groupes plus ou moins larges : très très pratique.

La fenêtre dans laquelle nous venons de dessiner des rectangles est titrée "Breakpoint". Mais en dessous d'elle s'ouvre une autre fenêtre, intitulée "Spectrum". De façon assez classique, nous pouvons y tracer une enveloppe multi-points. Enveloppe de volume ? Si l'on veut, mais c'est plus subtil. Sélectionnons le deuxième point de notre enveloppe. Dans la fenêtre du dessus, rien n'a changé. Griffonnons quelques partiels supplémentaires. Abandonnons le deuxième point de l'enveloppe pour sélectionner le premier : surprise, dans la fenêtre "Breakpoint", les nouveaux partiels ont disparu. synthétiseur Morphine, le "spectrum"
Sélectionnons à nouveau le deuxième point de l'enveloppe : les revoilà. Chaque point de l'enveloppe représente un moment - dans un flux temporel - caractérisé par une configuration de partiels. Point 1 : le premier son que nous avons créé ; point 2 : celui créé en ajoutant les nouveaux partiels ; point 3 : le son résultant d'une nouvelle configuration de partiels ; etc. L'ensemble de ces "breakpoints", le total du flux temporel, forme un "Spectrum". Et selon le rythme que nous imprimerons à notre enveloppe, Morphine glissera plus ou moins rapidement d'un réglage, d'un "breakpoint" à l'autre. Evidemment, il est possible de créer une boucle, un loop, entre deux des points de l'enveloppe. Et combien de points peut compter cette enveloppe ? Quatre ? Dix ? Vingt ? Autant que vous voulez ! Suscitant, donc, autant de "breakpoints" que vous le souhaitez ! Ah, une lueur d'intérêt s'éveille dans votre regard…

La suite

 

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© Tom Goldschmidt
Free
pics: www.bigfoto.com

 

Carte des Programmes (instruments, effets, séquenceurs, divers)

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