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Test / Critique/ Essai/ Review
Astralis 1.1
Spatial et spécial
(cliquer pour agrandir)
Homegrown Sounds s'était jusqu'à présent spécialisé en CD peuplés de sons d'ambiance et de textures mouvantes. La firme a décidé de se faire en quelque sorte concurrence ... puisqu'elle met sur le marché un synthétiseur virtuel destiné à créer ce genre de paysages sonores. Explication : le développeur, qui se présente comme un musicien avant tout, est un peu lassé de fournir à autrui des sonorités prêtes à l'emploi, et préfère nous donner les moyens d'en créer nous-mêmes. Après tout, "Offre un poisson à un homme, il mangera un jour ; apprends-lui à pêcher, il mangera toute sa vie".
Un premier coup d'oeil sur l'interface impressionne : on sent grouiller les possibilités, alors même qu'une grande partie d'entre elles n'apparaissent pas au premier coup d'oeil. La prédominance de teintes sombres et de nuances métalliques rappelle certains jeux à l'ambiance sinistre. Malheureusement, l'esthétique prend le pas sur la lisibilité quand les enveloppes se présentent comme des graphiques noirs sur fond gris très foncé.
A votre gauche, les synthétiseurs (ou oscillateurs ? Avec Astralis, on se prend un peu les pieds entre les deux concepts). Le premier, de type analogique, comporte deux oscillateurs à onze formes d'onde, qui permettent de choisir le nombre d'harmoniques (1, 2 , 4, 8, 16, 32, 64) ; le deuxième en comporte un seul à la fois, mais qu'il faut choisir entre deux : l'un est un pseudo-analogique semblable aux deux premiers, l'autre permet de concocter une forme d'onde à l'aide de seize partiels, il s'agit donc d'un choix entre synthèse soustractive et synthèse additive. Il est possible de synchroniser les deux synthétiseurs / oscillateurs, qui disposent par ailleurs chacun d'une distorsion de type "drive", et suivent ou non selon votre choix, le pitch bend. Ce dernier peut n'être affecté qu'à une partie du clavier. Mieux, chaque synthétiseur peut être affecté uniquement à une partie des touches.