Graffiti, le site de Tom Goldschmidt
Ces pages reprennent celles de
mon ancien site Inspira-Sons,
qui fut consacré à l'électro-acoustique et à la musique assistée par ordinateur.
J'ai récupéré le contenu de ces pages suite à certaines demandes.
Vous trouverez probablement des liens morts ou autres défauts.
|
Vous pouvez vous abonner à une lettre (par e-mail) qui vous informera, une ou deux fois par mois, des nouvelles parutions sur le blog .
Inscrivez votre adresse e-mail dans le champ "E-mail". (Veillez à ne pas placer d'espace avant ou après l'adresse, en la dactylographiant ou en effectuant un copier-coller, sans quoi vous recevrez un message d'erreur). Cliquez "Je M'Abonne"... Vous recevrez un courriel de confirmation. Cliquez sur le lien qu'il contient. Et voilà ! Il est bien sûr loisible de se désabonner d'un clic. Vous pouvez aussi être prévenu/e à chaque parution en cliquant "Messages (Atom)" au bas de la page d'accueil du blog.
|
© Tom Goldschmidt
|
Carte des Programmes (instruments, effets, séquenceurs, divers)
|
lier les fréquences de coupure, possibilité de placer un filtre "en cascade" - nous dirions plutôt "en boucle" - jusqu'à huit fois, et d'envoyer la sortie du filtre 1 dans le filtre 2. Vous ne trouverez pas de fonction "tracking" autonome, mais la matrice de modulation permet de lier la fréquence de coupure à la hauteur de la note jouée. 
l'interaction avec le flanger s'avère explosive et donne facilement un côté tournoyant aux sonorités. Si on l'encourage à mal faire, Organic produit des sons à mi-chemin entre un violon martien et une chatte en chaleur. A vous de régler le routage des effets comme vous l'entendez (par exemple, du modulateur en anneaux au flanger, de là à la réverbération 
etc.), et une modification du routage peut transformer le son de manière impressionnante. N'oublions pas l'égaliseur à huit bandes, et une distorsion assez polyvalente baptisée "Clipper" ; ces deux effets affectent l'ensemble du signal et pas la sortie d'un des synthétiseurs. 
Vous remarquerez à peine que le nom de certaines sources apparaît en blanc, le nom des autres en bleu, et pourtant cette nuance n'est pas qu'esthétique. Les premières sont fixes, les secondes sont à choisir à partir de menus. Au total, l'utilisateur peut jouer sur onze sources et huit destinations - de quoi créer un joyeux capharnaüm -. Un seul petit regret : l'accordage fin des oscillateurs ne figure pas parmi les destinations, alors qu'il permettrait d'ajouter un peu de moelleux que l'on doit parfois demander à un chorus externe. Nous l'avons fait remarquer au développeur. Réponse : "Bonne remarque, ce sera pour la prochaine version". 