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Test / Critique/ Essai/ Review
Arturia Brass (P.3).
Mais tout ceci ne représente encore qu'un aspect de Brass. Il en est un autre : le mode "Riffs", puisque Brass vous est livré avec une série de ces petites phrases le plus souvent utilisées comme signature d'un morceau. D'une main vous déclenchez le riff, de l'autre vous le transposez, et magie ! votre section de cuivres éblouit l'auditeur, dans des genres qui vont du hip-hop au militaire. On aurait aimé recevoir une moisson plus ample qu'à l'installation, car écrire pour les cuivres n'est pas ce qu'il y a de plus évident ; mais heureusement Arturia semble décidé à nous fournir de quoi grossir notre riffothèque, et a déjà commencé à le faire via son site. Cela dit, rien ne vous empêche de vous faire riffeur : c'est un véritable petit séquenceur qui nous est fourni pour ce faire, avec son rouleau de piano, et il vous permet de modifier les riffs existants comme de créer les vôtres.
Précision importante : Brass n'est pas destiné aux configurations modestes. Ses exigences en ressources sont impressionnantes, et votre processeur risque de manifester parfois sa mauvaise humeur par des crachotements ou des latences. C'est tout sauf étonnant pour un instrument pareil, il répercute sur la charge de travail de votre machine la vertigineuse somme de calculs qu'il a exigé de ses créateurs.
La réalisation de Brass représentait un tout gros pari, celui-ci est largement gagné, et son résultat enrichit la controverse "Echantillonnage ou modélisation ?". Reste à voir combien de musiciens auront l'usage d'une trompette ou d'une section de cuivres virtuelles, mais ceci est une autre histoire.