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Test / Critique/ Essai/ Review
Reaper 2
Le séquenceur qui "fauchera" ses rivaux ?
(cliquer pour agrandir)
Un spectre hante le monde des séquenceurs. Il s'appelle Reaper et doit troubler les nuits de quelques responsables de grosses firmes - celles qui proposent les séquenceurs pour PC les plus connus - et les plus chers - , tels Cubase et Sonar. De plus en plus d'utilisateurs chantent les louanges de ce logiciel au prix dérisoire : 50 dollars pour une licence non-commerciale (si vous publiez des CD sur une échelle professionnelle, vous êtes prié d'acquitter $200). Reaper est un vrai shareware, à l'ancienne : la version que vous téléchargez n'est en rien bridée. A vous et à votre honnêteté de payer ce que les concepteurs sont en droit d'attendre. Concepteurs qui n'en sont pas à leur coup d'essai, puisque le principal d'entre eux a participé à l'élaboration de Winamp et Gnutella.
Nous avions consacré un test à Reaper voici quelque temps, mais le logiciel, qui a passé le cap de la version 2.0, évolue très vite, il était temps de se mettre à jour.
Car se mettre à jour, c'est ce que Reaper ne cesse de faire : les versions se succèdent à toute allure, au point que certains se plaignent de ne plus suivre. Mais nul n'est obligé d'installer toutes les modifications, et celles-ci permettent souvent de pallier l'un ou l'autre problème rencontré par quelques usagers. De plus, il n'est pas nécessaire de désinstaller la version répudiée avant d'installer sa remplaçante. En règle générale, les utilisateurs se félicitent de l'attitude des développeurs, très sensibles aux suggestions de leurs clients. Mais cette promptitude a un inconvénient : le mode d'emploi, par ailleurs très complet et épaulé en ligne par un wiki, peine à suivre ce rythme d'enfer.
PC, vous avez dit PC ? Oui, Reaper ne tourne pas encore vraiment sur un Mac, sauf à l’état de "preview". Une version définitive doit voir le jour dans les premiers mois de 2008. Reaper s'intègre progressivement à l'univers Linux, voyez ici les détails.